Monday, January 25, 2010

The Refreshing Summer Palace

In the morning, I changed our dollars into renminbis (the Chinese currency). It took forever for the hotel clerk-lady to write down the number of each one of my twenty dollar bills and just about everything in my passport!

For breakfast, I tried the steamed rice buns filled with pork (quite yummy), and some brown-purplish droplets-shaped doughy pastries, known as steamed dim suns (okay). Frédéric didn’t care for the tea nor the sweet potatoes (but I swear they were the best I ever had!). Two businessmen from Nanjing sat next to us, and we chatted best we could. The oldest fellow looked at Juliette with dumbfounded amusement. Clearly he didn’t get to see blue-eyed little girls often! The younger fellow felt a bit shy about his English, but it was 10 times better than our Chinese! He said he had learned it by watching movies. Wow!

Our first visit in Beijing took us to the Summer Palace where the emperor once vacationed to cool down away from Beijing’s hot downtown. It was an ironic start. A few days ago, Beijing was experiencing the coldest winter in 70 years, and we saw that the gigantic man-made lake at the Summer Palace had turned into a thick sheet of glass where adventurous Chinese tourists ventured.


We walked along the ice-hard water’s edge down the world’s longest corridor, an open structure with painted wooden columns and decorated ceilings. Suddenly, a group of Chinese tourists flocked down on Frédéric to get their photo taken with him. I worried he would panic a bit, but he actually enjoyed being a “star!” He smiled a baffled, yet happy, smile while the Chinese tourists posed with him and giggled in glee!


At one corner of the lake, Juliette spotted two large interlocking hearts drawn in the coat of snow atop the ice. Someone had drawn them by dragging their feet!

Next to two large, stony arched bridges, Frédéric and I had a quick snow ball fight! Frédéric won when he found a huge block of snow and he threw it on me! On our way out, we walked past trinket vendors selling fake watches, Groucho Marx pastic noses with blowouts on either sides of the noses, and other goofy things.

We stepped back into the bus to head to our first local lunch. I must say that I’m not all that surprised by wacky driving styles – having been to Rome and New York – however, our bus driver gave us a great Darwinian example of “survival of the fittest” on the craziest roads I’ve seen to date. He was really a master!

--- version française

Au petit matin, j’ai changé nos dollars en renminbi (la monnaie chinoise). La réceptionniste a prit un temps fou. Elle a du noter tous les numéros des billets de vingt dollars que je lui ai donné, en plus de la moitié des infos dans mon passeport !

Au petit-déjeûner, j’ai goûté chaussons de riz, cuits à la vapeur, et remplis de porc haché (pas mal) et des pâtisseries violettes en forme de goutte, appelées « dim sun » (moyen). Frédéric n’a pas vraiment aimé le thé ni les patates douces, alors que j’ai trouvé qu’elles étaient les meilleures de ma vie ! Deux businessmans de Nanjing se sont joints à notre table. On a fait de notre mieux pour converser. Le plus vieux regardait Juliette avec un air épaté et amusé. Visiblement, il ne rencontre pas de fillettes blondes et aux yeux bleus tous les jours. Son collègue était gêné de son anglais, mais c’était dix fois mieux que notre chinois ! Et en plus, il l’avait apprit en regardant des films américains ! Impressionant !

Notre première visite du jour nous mena au Palais d’Été, où jadis l’empereur venait se rafraichir loin du centre ville bouillant de Beijing. C’était ironique. Quelques jours avant, Beijing souffrait de la vague de froid la plus glaciale en 70 ans. L’énorme lac artificiel était entièrement gelé, et de braves touristes s’y aventuraient.

On a marché le long du lac sous les toits du couloir le plus long du monde, un passage bordé de colonnes en bois peintes et de plafonds ornés. Tout à coup, un groupe de touristes chinois se sont rué vers Frédéric pour se faire prendre en photo à côté de lui ! J’ai craint qu’il ne panique un peu, mais bien au contraire, la situation lui plut. Il sourît d’un sourire un peu époustouflé mais amusé, pendant que les touristes posaient à côté de lui en riant.

Au coin du lac, Juliette remarqua deux grands cœurs entremêlés, dessinés sur la fine couche de neige sur le lac gelé.

Au-delà de deux ponts archés en pierre, Frédéric et moi avons eu une bataille de boules de neige. Frédéric a gagné avec un gros bloc de neige qu’il m’a envoyé dessus ! En sortant du Palais d’Été, on est passé près de vendeurs de gadgets qui nous demandaient si on voulait des montres de marques (toutes fausses !), des nez en plastic de clowns, et d’autres trucs en toc.

Lorsqu’on est retourné dans le bus pour aller au restaurant, on a eu une démonstration de la loi du plus fort ! Le Darwinisme au volant – et ceci venant de quelqu’un qui a vu les conducteurs de New York et Rome. Pas de doute, conduire à Beijing est bien plus fou !

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